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Lévitique 16:29-18:30; Marc 7:24-8:10; Psaumes 41:1-13; Proverbes 10:15-16
LEVITIQUE 17:3-9 - Pourquoi était-il interdit aux Juifs d'offrir des sacrifices en dehors de la zone du tabernacle?
Dieu avait déterminé des moments et des endroits bien spécifiques pour l'offrande de sacrifices, et chaque occasion était imprégnée de symbolisme. Si les gens avaient pu faire des sacrifices de leur côté, ils auraient pu facilement ajouter ou retrancher aux prescriptions de Dieu des éléments convenant à leur propre style. Beaucoup de religions païennes permettaient à chaque individu de définir ses propres règles; les commandements de Dieu aidaient les Israélites à résister à la tentation de suivre ce modèle païen. Il est intéressant de noter que quand les Israélites ont glissé vers l'idolâtrie, c'était parce que "chacun faisait ce que bon lui semblait" (Juges 17:6).
LEVITIQUE 17:11-14 - Comment le sang expie-t-il le péché?
D'un côté, le sang représente la vie du pécheur, infecté par son péché et en route pour la mort. De l'autre, le sang représentait la vie innocente d'un animal sacrifié à la place de la personne coupable qui offre le sacrifice. La mort de l'animal (dont le sang était la preuve) réglait la pénalité, la peine de mort. En conséquence, Dieu accordait le pardon au pécheur.
MARC 7:26 - Qu'est-ce qu'une "syro-phénicienne"?
La femme est appelée une syro-phénicienne dans Marc et une cananéenne dans Matthieu. La désignation de Marc fait référence à son arrière-plan politique. Ses lecteurs romains pouvaient facilement l'identifier avec la partie de l'empire où elle habitait. La description de Matthieu visait ses lecteurs Juifs, qui se souvenaient des cananéens comme des ennemis jurés quand Israël s'est installé en Terre Promise.
Dieu avait déterminé des moments et des endroits bien spécifiques pour l'offrande de sacrifices, et chaque occasion était imprégnée de symbolisme. Si les gens avaient pu faire des sacrifices de leur côté, ils auraient pu facilement ajouter ou retrancher aux prescriptions de Dieu des éléments convenant à leur propre style. Beaucoup de religions païennes permettaient à chaque individu de définir ses propres règles; les commandements de Dieu aidaient les Israélites à résister à la tentation de suivre ce modèle païen. Il est intéressant de noter que quand les Israélites ont glissé vers l'idolâtrie, c'était parce que "chacun faisait ce que bon lui semblait" (Juges 17:6).
LEVITIQUE 17:11-14 - Comment le sang expie-t-il le péché?
D'un côté, le sang représente la vie du pécheur, infecté par son péché et en route pour la mort. De l'autre, le sang représentait la vie innocente d'un animal sacrifié à la place de la personne coupable qui offre le sacrifice. La mort de l'animal (dont le sang était la preuve) réglait la pénalité, la peine de mort. En conséquence, Dieu accordait le pardon au pécheur.
MARC 7:26 - Qu'est-ce qu'une "syro-phénicienne"?
La femme est appelée une syro-phénicienne dans Marc et une cananéenne dans Matthieu. La désignation de Marc fait référence à son arrière-plan politique. Ses lecteurs romains pouvaient facilement l'identifier avec la partie de l'empire où elle habitait. La description de Matthieu visait ses lecteurs Juifs, qui se souvenaient des cananéens comme des ennemis jurés quand Israël s'est installé en Terre Promise.
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